La
disparition du lierre permet maintenant de mieux observer
des détails que celui-ci dissimulait comme les
blasons. (aux armes des familles de Monsen et Wesemael.
Celui de la face sud est surmonté du perron
liégeois,
maintenant bien visible). Malheureusement la stabilité de
la tour risque, elle, d'en pâtir.
On distingue mieux aussi, les travaux de réfection du
XVIIe s. (en briques). Ce sont ces zones comme les tourelles d'angle qui sont
les plus fragilisées et qui auraient bien besoin de consolidation. |